des découvertes culturelles (mai 2015)
Avant, je faisais un récapitulatif de tout ce que j'avais vu et lu sur Deviant Art, dans une entrée de journal aussi succincte que froide, qui ne donnait pas forcément envie de se renseigner sur les œuvres abordées, et je trouve ça dommage.
Maintenant, ça va se passer ici, à chaque fin de mois, et ça ne va pas se limiter qu'aux films, aux séries et aux livres; il y aura aussi la musique, les jeux, et éventuellement les autres activités culturelles si j'ai l'occasion (musées, représentations, expériences inclassables…)
Je ne garantis pas d'exposer absolument toutes les œuvres découvertes dans le mois.
Sans plus attendre…
Cinéma
12 Monkeys (Terry Gilliam, 1995): je ne m'en souvenais plus, je l'ai regardé à nouveau. Un film à l'histoire captivante, adapté de La Jetée que je lui préfère par ailleurs. Une oeuvre un peu trop bruyante pour moi, à l'esthétique agressive.
12 Angry Men (Sydney Lumet, 1957): troisième ou quatrième fois que je le vois, cette fois-ci à l'occasion d'une séance spéciale au cinéma. Toujours un bonheur. Les dialogues et les chorégraphies de ces hommes sont fascinants. Je vous recommande de le regarder.
Seven Brides for Seven Brothers (Stanley Donen, 1954): Une morale très discutable et une ambiance bon enfant m'empêche d'être totalement positif sur ce film comédie musicale. Pour autant, certaines chansons et une séquence de danse en particulier m'ont marqué.
Séries
Magi: The Labyrinth of Magic (2012), épisode 1 à 5: dans un univers inspiré d'Aladdin et du Moyen-Orient, des tours mystérieuses sont apparues. Aladdin, si si, il s'appelle comme ça, semble avoir un rôle spécial à jouer là-dedans, avec son génie attitré. Ce n'est pas déplaisant, mais tout à fait dispensable.
C: The Money of Soul and Possibility Control (2011), épisode 1 à 2: un étudiant devient propriétaire d'une étrange carte bancaire qui lui permet de faire des combats pokémon contre d'autre utilisateurs, grâce à la créature contenue dans sa carte. L'histoire n'a ni queue ni tête, mais a au moins le mérite de changer. A voir pour plus tard, pourquoi pas.
Akame ga Kill (2014), épisode 16 à 19: que c'est bête, que c'est bête, que c'est bête.
Sidonia no Kishi (2014), saison 2, épisode 1 à 5: cette deuxième saison est méconnaissable. Qu'est-il arrivé à cette série ? Je ne comprends pas. La chimère est un sérieux point noir qui n'est pas près de s'arranger, apparemment.
Kiseijuu: Sei no Kakuritsu (2014), épisode 16 à 24: suite et fin de cet anime. Une adaptation correcte du manga, mais à l'écran certains personnages sont moins supportables que sur le papier, c'est étrange.
Game of Thrones (2011), saison 5, épisode 5 à 7: que c'est long, que c'est long, que c'est long. Ça fait deux saisons ou trois que la série ne me plaît plus, et plus ça va, moins je la tolère. Le point de rupture est proche.
Jeux vidéo
Papo Y Yo (Minority Media, 2012): j'ai détesté, et j'en parle ici
Dwarfs?! (Power of 2, 2011): un simulateur de nains comme il s'en fait des dizaines. Ça ne m'intéresse pas de creuser les montagnes pour trouver de l'or.
Edge (Mobigame, 2008): visuellement spécifique, terriblement passe-partout. Un jeu à faire dans les transports en commun, sans doute.
Alan Wake (Remedy Entertainment, 2010): le jeu croule sous les références, c'est dommage. J'en parle ici.
Year Walk (Simogo, 2013): un petit joyau, tout petit, tout mystérieux. Du bonheur à déballer et à savourer en l'espace de deux heures. Un univers fascinant. Je vous recommande d'y jouer.
Livres, mangas, etc.
- Shingeky no Kyojin (Hajime Isayama, 2009), chapitre 69: du flashback, du flashback, encore du flashback. J'ai extrêmement peur pour l'adaptation en anime, je ne sais pas comment ils vont réussir à transposer les 20 derniers chapitres qui ne sont que du blabla et des discours à tout-va.
C'est plus ou moins terminé pour ce mois-ci. Je n'ai pas parlé des dizaines de jeux Atari 2600, car il n'y a pas suffisamment de matière pour en parler. On se voit le mois prochain !