de 2016 qui se termine et 2017 qui commence
2016 se finit. Pour beaucoup, ce fut une annus horribilis. J'y vois là néanmoins une certaine forme de mimétisme social qui consista à traiter cette année de tous les noms à chaque décès de personnes populaires afin de se faire bien voir sur Internet et autres lieux propices à l'épanchement meme-esque, forcément répétitif et masturbatoire par définition, comme si ces événements-là ne s'étaient pas produits auparavant.
Pourquoi 2016, et pourquoi pas 2015, année du décès de Wes Craven, Christopher Lee, Leonard Nimoy et tant d'autres ? Ou bien pourquoi pas 2014, qui vit la disparition de Joan Rivers, Robin Williams mais aussi Alain Resnais ? Les arcanes d'Internet sont secrètes. Qui sait quelle sera la nouvelle lubie pour 2017.
Dans tous les cas, 2016 fut pour moi une bonne année sur quasiment tous les plans. Elle m'a permis notamment de terminer mes études sur une note très positive...